BAISIN a écrit:Hormis TV 8 Mont Blanc, Grand Lille TV, Vosges TV, et DICI TV, il n' y a pas de tv locales par satellite( coût), la tv locale Toulousaine TLT n' a jamais été transmise via satellite.
Pour une fois ce n'est pas totalement hors sujet puisqu'il s'agit de recevoir Fransat près de ToulouseEmmebel a écrit:Oui, et alors ? qu'est-ce que ça vient faire ici ?BAISIN a écrit:Hormis TV 8 Mont Blanc, Grand Lille TV, Vosges TV, et DICI TV, il n' y a pas de tv locales par satellite( coût), la tv locale Toulousaine TLT n' a jamais été transmise via satellite.
Dans ce cas, c'est vraiment hors sujetjulien74 a écrit:TLT n'existe plus...
Qui veut succéder à TLT à Toulouse ?
Mercredi 1er juin, moins d'un an après la fin de TLT, le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a lancé l'appel à candidatures pour une télé locale à Toulouse sur la TNT.
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L’appel à candidatures, qui s’achèvera au plus tard le mercredi 13 juillet 2016 à 17h, va permettre d’officialiser le véritable appétit pour cette fréquence laissée en jachère par la fin de TLT.
Un appétit dont ne manquent pas deux acteurs du Grand Sud, notamment : le groupe Médias du Sud, qui possède des télés locales à Nîmes, Montpellier et Perpignan et dont l’arrivée à Toulouse épouserait la géographie de la nouvelle grande région Languedoc-Roussillon/Midi-Pyrénées, ainsi que TVPI, une télé locale du Pays basque.
Que vont faire la mairie de Toulouse et le Conseil régional ?
Au-delà des questions du repreneur et des contenus de la future chaîne, quel sera le rôle des collectivités dans ce dossier ? Plusieurs acteurs critiquent la position de Jean-Luc Moudenc, le maire LR de Toulouse, qui se montrerait réservé sur le sujet. « La mairie ne veut plus de télévision locale et freine l’ouverture de l’appel à candidatures », nous disait Vincent Barthe, l’ex-producteur de la Case Doc, en avril 2016. Le point sensible du dossier réside dans la participation financière du Capitole, échaudé par l’expérience TLT.
Au Conseil régional, la création d’une nouvelle télé locale n’était pas vue comme une priorité au départ, malgré le forcing de l’écologiste Gérard Onesta, président du bureau de l’assemblée du Conseil régional. Mais les positions seraient en train de changer.