EuHH ???? C'est de l'humour... ou tu as besoin de lunettes
4 posts plus haut........ la réponse...
URGENT : le plateau de Thalassa envahi sur France 3
10 mars 2006 21h45. Ce soir à 20h50, l'équipe de «Thalassa» n'a pas pu prendre l'antenne comme prévu. En effet, selon nos informations, le bateau sur lequel le programme est retransmis en direct a été envahi en tout début d'émission par des manifestants (étudiants et intermittants du spectacle principalement) opposés au contrat première embauche (CPE). Georges Pernoud, animateur et producteur de l'émission, a alors décidé de ne pas prendre l'antenne et de diffuser un reportage. Ensuite, France 3 a débuté la rediffusion d'une émission sur les requins.
Près de 900 élus de tout bord ont protesté contre la réduction jugée "inacceptable" des programmes d'information régionale de France 3 dans une pétition qui vient d'être remise à la direction de France Télévision, a-t-on appris auprès du sénateur à l'origine du texte. La réduction des programmes régionaux est "un projet inacceptable (...) C'est centraliser et contrôler l'information à l'heure même de la décentralisation", souligne le texte de la pétition lancée par le sénateur des Côtes d'Armor, Claude Saunier (PS). "Nous demandons le retrait de ce projet. Le service public régional de télévision n'est pas à brader, il ne peut se concevoir sans le maintien d'une information régionale quotidienne de qualité", assure le texte. La quasi-totalité des signataires émanent des Côtes d'Armor, la pétition ayant été adressée aux maires de ce département "sans aucune relance", assure-t-on à la permanence du sénateur. Le texte est cependant signé par 9 députés ou sénateurs bretons des départements voisins, dont plusieurs UMP. La direction justifie la réduction des programmes depuis le 27 février par sa volonté d'éviter une concurrence avec le 13H00 de France2. Selon les syndicats, la tranche horaire 12H55-13H20 d'information régionale était particulièrement suivie dans l'ouest avec une audience de 15%, contre 8% au plan national.
Ils sont restés 124 jours en captivité, oscillant entre l'espoir et la crainte: un docu-fiction raconte la détention en Irak des journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot, à partir de leurs témoignages.
Réalisé par Jean-Luc Breitenstein, ce film de 95 minutes, "Otages à Bagdad", diffusé ce soir à 20h50 sur France 3, mêle habilement images d'archives, témoignages directs des deux journalistes, de proches. Des scènes sont jouées par des comédiens, notamment Philippe Sollier (interprétant Chesnot) et Eric Soubelet (Malbrunot), Abdelkrim Bahloul (leur chauffeur Mohammed Al-Joundi).
Ce docu-fiction, inspiré de leur ouvrage "Mémoires d'otages", raconte de l'intérieur l'enfermement, le huis-clos quotidien de ceux que la France considérait comme ses "enfants", témoigne Robert Ménard, secrétaire général de RSF. Le 20 août 2004, ils partent de Bagdad pour Nadjaf, avec leur chauffeur Mohammed Al-Joundi, dans une vieille guimbarde sur la route réputée dangereuse. Ils s'arrêtent pour envoyer, via un satellite, un "son" en direct. 12 minutes où la voiture est immobilisée. Ils sont repérés, encerclés et emmenés par l'Armée islamique, groupe de la guérilla irakienne dans une "ferme".
Quatre mois plus tard, le 21 décembre, ils sont embarqués dans le coffre d'une voiture. Quand on les en sort, ils voient l'écusson tricolore. Entretemps ils ont expérimenté la peur, appris à être attentifs au moindre bruit, aux humeurs des geôliers, craqué parfois. Des images inédites les montrent à bord de l'avion qui les emmène vers la France. Sur le tarmac à Chypre, Michel Barnier, alors ministre des Affaires étrangères, leur dit: "Je vous apporte un bon bordeaux". Le 22, ils arrivent à Villacoublay, accueillis par Jacques Chirac.
"On revient au monde. On était dans une parenthèse, une bulle", estime Chesnot, pour qui ce film a "bien rendu l'esprit de ce qu'on a vécu". Pour Malbrunot, cette "histoire est derrière (lui), mais on voit qu'à chaque moment, on était sur le fil du rasoir". Il avait craint une "dramatisation" et a accepté "à condition que ce soit fidèle à la réalité". Christian Chesnot de renchérir: "on ne voulait pas que le film joue sur la corde sensible". Chesnot, actuellement à France Inter, dit être sorti de cette histoire "en se remettant au travail tout simplement". C'est un "accident du travail", ironise Malbrunot, journaliste au Figaro, pour qui "l'écueil, c'était de rester acteur d'un film où on est pour rien".
France 3 fait revivre les duos mythiques de la chanson à 20h50.
La chaîne annonce pour cette soirée "deux heures de souvenirs, de chanson et d'émotion" avec notamment des duos "exceptionnels" (Johnny Hallyday et Lara Fabian), des duos "de légende" (Sylvie et Johnny) des duos "d'émotion" (Claude François et France Gall), des duos "improbables" (Julio Iglesias et Michel Sardou) et des duos "cultes" (Peter et Sloane).
De son côté, TF1 proposera le 19 mai, à 20h50, des duos "improbables", où les amis de l'animateur Nikos Aliagas se mettront "dans la peau d'un chanteur" pour chanter en duo et en direct avec quelques grands noms de la chanson française.
7 mai 2006 09h00.
Lundi 22 mai à 20h50, France 3 et FremantleMedia proposeront un «Questions pour un champion» spéciale Fiction. 10 comédiens issus des fictions de France 2 et France 3 s'affronteront sur le plateau de Julien Lepers. Divisés en deux équipes, Michel Boujenah, Michel Creton, Sylvie Flepp, Juliette Lamboley, Eva Darlan, Louis Karim Nébati, Didier Cauchy, Jean-François Stévenin, Tom Novembre et Valérie Bagnou-Beidou devront remuer leurs méninges pour emporter le titre de Champion.
A l'occasion de la journée de l'Europe, le magazine politique de France 3 "France Europe Express", également diffusé sur France Info, sera consacré à la place de la France dans l'Europe d'aujourd'hui et à celle de l'Europe dans le débat politique français, à un an de l'élection présidentielle en France.
Dans cette émission Jacquesdiffusée à partir de 23H00, Christine Okrent recevra Barrot, commissaire européen chargé des transports, Pierre Moscovici, député européen et secrétaire national du PS chargé de l'international, Nicolas Dupont-Aignan, député-maire UMP de Yerres (Essonne), Hugues Portelli, sénateur UMP du Val-d'Oise et professeur de sciences politiques, Bruno Gollnisch, député européen et délégué général du Front national, et, en duplex de Bruxelles, le Polonais Dariusz Maciej Grabowski, député européen.
La CGT, syndicat majoritaire de France 3, a publié jeudi son livre blanc, demandant notamment une relance des programmes régionaux, après deux audits préconisant un traitement de choc pour la chaîne.
Inquiets de voir "injustement France 3 dans l'oeil du cyclone" et face à la réduction des programmes régionaux, le SNRT CGT et le SNJ CGT ont remis mercredi leurs contre-propositions au PDG de France Télévisions Patrick de Carolis, alors que ce dernier vient de boucler le projet de contrat d'objectif et de moyens (COM) pour 2006-2006.
Ce projet, base de négociations avec l'Etat, a été remis mardi aux ministères de tutelle du groupe. Selon la CGT, il ne devrait pas être signé avant septembre. "L'audit interne de France Télévisions, suivi du rapport de l'IGF (Inspection générale des finances) publié en janvier ont été particulièrement agressifs envers France 3 et son personnel", a souligné jeudi Marc Chauvelot, secrétaire général du SNRT CFT de France 3, regrettant au passage que "la direction ait décidé d'interdire la tenue de la conférence de presse prévue à l'intérieur du site.
Le rapport de l'IGF, estimant que France 3 avec ses 6.500 employés (permanents et temporaires) concentre "l'essentiel des problèmes", avait émis des propositions radicales, comme la réduction du nombre de directions régionales, la cession ou la filialisation de l'outil de production, et le rapprochement des rédactions de France 2 et France 3.
Opposée à la réduction de la case régionale de la mi-journée, la CGT prône en revanche un renforcement de "l'identité régionale de France 3". "Si le service public déserte ce terrain là, ce sont les télévisions régionales des groupes de la PQR (presse quotidienne régionale) qui vont prendre la place de France Télévisions", s'inquiète Jean-François Téaldi de la CGT.
Le syndicat demande également que "l'Etat s'acquitte de ses dettes, estimées à 3 milliards d'euros, correspondant au cumul du non remboursement des exonérations de redevance depuis 1983". Selon Marc Chauvelot, il est urgent également d'obtenir "un financement spécifique pour le passage à la haute définition".
Quant à la filière de production de France 3 (fictions, évenements sportifs, spectacles), le syndicat propose de créer un "GIE production", qui place cet outil "au coeur de France Télévisions, au service des autres chaînes du groupe".