Anonymous a écrit:La structure en multiplex est le plus gros défaut du DAB.
Ce type de structure en multiplex n'est pas franco-français, c'est plutôt bien que tous les pays choisissent la même méthode d'hébergement des stations.
Je trouve que c'est une bonne chose de faire en sorte qu'un auditeur puisse avoir un choix minimum au lieu de se contenter d'une seule station de radio dans les cas extrêmes.
Ne pas recourir aux multiplex aurait posé beaucoup de problèmes en terme de coordination des fréquences si on avait dû se contenter de numériser la diffusion de chaque station. On sait le faire en FM, mais ça aurait été très compliqué de le refaire en numérique ( + de 7500 émetteurs FM en France ).
Qui va acheter un poste RNT pour ne capter qu'une seule station ?
Anonymous a écrit:Si seulement le CSA avait regroupé les sites de diffusion ,outre faciliter le cas des canaux adjacents, cela aurait permit de regrouper les survivants sur des multiplex complets et d'arrêter les émetteurs inutiles.
A Paris, les multiplex locaux 5, 6 et 7 sont incomplets et diffusés à partir du même site mais il n'y a pas eu de regroupement des stations pour autant, et cela fait plus de 3 ans que ça dure !
Anonymous a écrit:Le seul obstacle aux multiplex "remplis" est le cas du SFN totalement inutilisé chez nous.
C'est à dire ? je n'ai pas compris où tu veux en venir. En quoi un multiplex rempli est un obstacle au SFN ?
Les radios ont une obligation de couverture au sein de leur allotissement, le SFN s'impose et ne représente pas un obstacle mais plutôt un avantage pour combler les zones d'ombres entre 2 émetteurs mais j'ai peut-être mal compris ta phrase.
Au passage, on attend toujours la publication officielle des taux de couverture des multiplex en France.
Le silence radio du CSA en dit long sur la question...