Anonymous a écrit:Tout cela manque remarquablement de souplesse.
La RNT n'est déjà vraiment pas terrible et le CSA en rajoute une bonne couche.
Le CSA n'est que le régulateur de l'audiovisuel, il fait appliquer la loi et doit aussi s'y conformer ( à son rythme ).
Dans le cas de la RNT, l'important est le succès du projet par rapport au délai estimé pour aboutir, d'autant plus qu'avec un seuil de couverture à 19,97% on est vraiment proche des 20% pour rendre obligatoire la compatibilité des récepteurs vendus dans le commerce.
Anonymous a écrit:Ca en est ou le déploiement de la couverture des multiplex existants/survivants ?
L'occupation des places devenues vacantes ?
La poursuite du déploiement des multiplex existants doit intervenir au plus tard le 20 juin prochain mais il parait que le taux de couverture est déjà au moins équivalent à 40%; ce n'est pas l'impression que ça donne.
L'occupation des places vacantes est beaucoup trop tardive et malheureusement la suite n'est pas prévue au tour suivant puisque le prochain appel à candidatures concernera Nantes, Rouen et Toulouse avec au moins 6 mois de retard par rapport au calendrier annoncé en décembre 2015.
Anonymous a écrit:La logique élémentaire serait que les radios n'ayant pas trouvé de diffuseur a l'origine les utilisent.
Au lieu de cela on diffuse du vent.
On ne peut pas diffuser de radios sans nouvel appel à candidatures, quoique...
Le CSA pourrait autoriser temporairement ces radios en attendant la prochaine échéance.
La France est championne du monde des autorisations temporaires et les multiplex disposent de ressources disponibles sur des sites autorisés : pourquoi ne pas proposer cette alternative aux radios pour les faire patienter ? Ce serait provisoire mais aurait le mérite de dynamiser l'attrait de la RNT avec l'apport de nouveaux programmes.
Bien sûr, encore faut-il que les radios en fassent la demande au CSA.