Du point de vue de la bande passante, il n'y avait aucun problème elle aurait pu aller bien au-delà de 20 kHz avec une FI à 39,2 MHz et près de 500 kHz de libre avant l'extrémité du spectre vidéo (largeur vidéo: 6MHz, écart entre porteuses 6,5 MHz).jeanphi73 a écrit:Justement quelles étaient les limites audio du son AM norme L ?
Bande passante audio ?
Dynamique ?
Rapport signal bruit ?
Du côté du canal adjacent supérieur, il y avait 250 kHz de marge entre la porteuse son et la fin du talon vidéo (1,25 MHz en norme L).
Donc en théorie on aurait pu moduler avec un signal de 200 kHz de bande passante.
Je pense qu'elle était limitée à 15 kHz à l'émission.
Pour le signal/bruit et la dynamique, c'était de l'ordre de 50 dB max.
Bonne question, demander à JVC.jeanphi73 a écrit:Hors sujet du topic, pourquoi les Japonais ont eu l'idée en VHS SECAM de diviser par 4 la chroma, au lieu de proposer un modèle unique universel PAL/SECAM avec traitement type MESECAM ?
Je pense que ça pouvait simplifier la circuiterie (pas de quartz). Le signal FM une fois limité est un signal en tout ou rien qui peut se traiter comme des 0 et des 1.
Ce système permettait ausi de diviser par 4 la bande occupée par la chroma, contrairement à la transposition qui la laisse inchangée.
Cela a pu paraître avantageux aux concepteurs parce qu'à priori passer une bande passante de +/- 500 kHz sur une porteuse à 625 kHz ça ne semble pas évident. En QAM ou en AM réduire la bande passante de la chroma n'affecte que sa définition, en FM on détériore la linéarité de la chroma et les transistions de couleurs en tronquant la bande passante. Ils n'avaient pas forcément raison.
Je ne vois vraiment pas au nom de quoi ni comment il aurait pu l'imposer. Ce qui aurait été plus que paradoxal c'est qu'il le fasse !jeanphi73 a écrit:Paradoxalement ce n'est pas le gouvernement français de l'époque qui a eu l'idée d'imposer le division par 4.