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jeanphi73 a écrit:Oui mais le PHILIPS AGILE était MABLR, je ne pense pas que celui de AMZ le soit...
Ce n'est pas indiqué. Mais bon vu le prix.

Pourquoi du MABLR ,inutile
Il faut respecter le N-1;N et un règlage des niveaux au mesureur de champ
60 db pour analogique pour TNT
70 db pour analogique

J' ai connu un modulateur CGV fonctionnant sur le canal L' 04/C en Bande I VHF norme L '

Pour éviter les " galères " avec les canaux UHF de la CINQ, surtout entre les 30 à 39( modulateurs RLC de magnétoscopes qui dérivent en se désaccordant, comme des vieux pianos ! )

Ou les vieilles guitares !

In y a eu aussi le scoper de IDK qui utilise une péritel gigogne

Est paru le mois dernier aux éditions Tredaniel le livre «La Cinq, l'histoire secrète » de Berengère Danigo et Jean-Claude Bourret. ISBN 2813230421

J'ai lu l'ouvrage. Ce n'est pas un roman mais un livre de journalistes. L'histoire de la chaîne de A à Z est sourcée, le livre est essentiellement composé d'une compilation d'articles de presse d'époque. Il a l'avantage de tout rassembler. Le livre est aussi émaillé d'anecdotes personnelles assez intéressantes. Il n'apprendra pas grand chose à ceux qui connaissent déjà bien l'histoire, mais sera sûrement plus intéressant pour les lecteurs intéressés par l'envers du décor. De la création à la chute, de la chute à la faillite, tout est décrit. Des assemblées générales aux convocations du CSA, sur fond d'alternance politique et de cohabitation. Le livre se termine par quelques photographies des grandes figures de La Cinq.

C'est très curieux de se replonger dans cette époque. L'an dernier j'ai acheté plusieurs journaux de l'association, ils sont assez difficiles à trouver.
Ce livre est comme une conclusion à l'ensemble de ces journaux.
Il y a un côté règlement de compte, mais beaucoup des acteurs ne sont déjà plus de ce monde, Mitterrand, Berlusconi, Lagardère, Elkabbach et consorts. Mais c'est aussi un hommage vibrant au travail effectué par la rédaction pendant ces cinq ans. C'est aussi une réminiscence du temps où les journalistes savaient bien écrire, où les patrons se faisaient appeler PDG et non CEO, et enfin un monde où la télévision avait toute sa place, toute la place.

En refermant l'ouvrage l'on se dit que les enjeux sont sans commune mesure de nos jours. La télévision est passée au second plan depuis une quinzaine d'années déjà, et les choses ne s'arrangent pas.

De toutes façons, en 1992, il y a eu tellement de coups tordus, entre B******s, M******, et B*******i, à tel point que la 5 a "jeté l' éponge" au Printemps de la même année.


je me souviens de la grise mine de J.C.BOURRET, et les pleurs de Pierre Luc SEGUILLON, et de Marie Laure AUGRY !
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EDIT : citations nominatives supprimées par la modération