gerry a écrit:
Et très bientôt...
DES FILMS EN SOIREE sur DIRECT 8.....
Annoncé officiellement par Axel Brucker cet après-midi....
A suivre...
Quoi ? Des films en soirée ?
Plus de Bonne N'Huit, plus de Zap'8 ?
C'est une annonce officielle ?????
gerry a écrit:
Et très bientôt...
DES FILMS EN SOIREE sur DIRECT 8.....
Annoncé officiellement par Axel Brucker cet après-midi....
A suivre...
gerry a écrit:... suite à une forte demande du public... les films doivent donc débarquer prochainement en soirée...
III - DIFFUSION ET PRODUCTION D'OEUVRES CINEMATOGRAPHIQUES
Article 3-3-1 : quotas d'oeuvres cinématographiques européennes et d'expression originale française
L'éditeur réserve, dans le nombre total annuel de diffusions et de rediffusions d'oeuvres cinématographiques de longue durée, au moins 60 % à la diffusion d'oeuvres européennes et 40 % à la diffusion d'oeuvres d'expression originale française, au sens des articles 2, 3, 5 et 6 du décret n° 90-66 du 17 janvier 1990 modifié.
Les proportions mentionnées à l'alinéa précédent doivent également être respectées aux heures de grande écoute, soit entre 20 h 30 et 22 h 30.
Article 3-3-2 : quantum et grille de diffusion
Le service ne diffuse pas annuellement plus de cent quatre-vingt-douze oeuvres cinématographiques de longue durée. Le nombre de diffusions intervenant en tout ou partie entre 20 h 30 et 22 h 30 ne peut dépasser cent quarante-quatre.
Les plafonds mentionnés à l'alinéa précédent s'entendent de l'ensemble des diffusions et rediffusions de quelque nature qu'elles soient.
Aucune oeuvre cinématographique de longue durée ne sera diffusée, d'une part, le mercredi soir et le vendredi soir, à l'exception des oeuvres d'art et d'essai diffusées après 22 h 30, d'autre part, le samedi toute la journée et le dimanche avant 20 h 30.
Au delà du nombre maximum annuel fixé au premier alinéa du présent article, l'éditeur peut procéder annuellement à la diffusion de cinquante-deux oeuvres cinématographiques d'art et d'essai de longue durée répondant aux conditions prévues à l'article 1er du décret n° 91-1131 du 25 octobre 1991 portant classement des salles de spectacles cinématographiques d'art et d'essai et figurant sur une liste établie par le directeur général du Centre national de la cinématographie. La diffusion de ces oeuvres ne peut intervenir entre 20 h 30 et 22 h 30 et respecte les obligations prévues à l'article 7 du décret n° 90-66 du 17 janvier 1990 modifié.
Article 3-3-3 : chronologie des médias
Les contrats conclus par l'éditeur en vue de l'acquisition de droits de diffusion d'oeuvres cinématographiques prévoient le délai au terme duquel la diffusion de celles-ci peut intervenir.
Lorsqu'il existe un accord entre une ou plusieurs organisations professionnelles de l'industrie cinématographique et l'éditeur portant sur les délais applicables à un ou plusieurs types d'exploitation télévisuelle des oeuvres cinématographiques, les délais prévus par cet accord s'imposent à l'éditeur.
Article 3-3-4 : production d'oeuvres cinématographiques
I - Les obligations d'investissement de l'éditeur dans la production d'oeuvres cinématographiques obéissent aux dispositions du chapitre I du titre I du décret n° 2001-1333 du 28 décembre 2001 pris pour l'application des articles 27, 70 et 71 de la loi du 30 septembre 1986 précitée et fixant les principes généraux concernant la diffusion des services autres que radiophoniques par voie hertzienne terrestre en mode numérique.
II - Chaque année, à compter de la date prévue dans l'autorisation pour le début effectif des émissions, l'éditeur consacre à des dépenses contribuant au développement de la production d'oeuvres cinématographiques européennes une somme correspondant au moins au pourcentage suivant du chiffre d'affaires net de l'exercice précédent :
- 1ère année : 2,5 %
- 2ème année : 2,6 %
- 3ème année : 2,7 %
- 4ème année : 2,8 %
- 5ème année : 2,9 %
- 6ème année : 3,0 %
- 7ème année : 3,1 %
- A partir de la 8ème année : 3,2 %
III - La part de cette obligation composée de dépenses contribuant au développement de la production d'oeuvres cinématographiques d'expression originale française représente une somme correspondant au moins au pourcentage suivant du chiffre d'affaires net de l'exercice précédent.
- 1ère année : 2,0 %
- 2ème année : 2,0 %
- 3ème année : 2,1 %
- 4ème année : 2,2 %
- 5ème année : 2,3 %
- 6ème année : 2,3 %
- 7ème année : 2,4 %
- A partir de la 8ème année : 2,5 %
IV - Au moins trois quarts des dépenses prévues aux II et III du présent article entrant dans les cas prévus aux 1° et 2° de l'article 5 du décret n° 2001-1333 du 28 décembre 2001 sont consacrées au développement de la production d'oeuvres indépendantes, selon les modalités et les critères mentionnés à l'article 7 du même décret.
V - L'éditeur s'engage à ce que les contrats qu'il conclut en vue de l'acquisition de droits de diffusion, accompagnés le cas échéant de parts de coproduction, comportent un chiffrage de chaque droit acquis, individualisant chaque support de diffusion, le nombre de passages, leur durée de détention et les territoires concernés.
Article 3-3-5 : présentation pluraliste de l'actualité cinématographique
Si l'éditeur présente l'actualité des oeuvres cinématographiques sorties en salles au sein d'émissions consacrées à cette actualité, il s'engage à ce que cette présentation soit pluraliste et diversifiée.
Aquariusnocamus a écrit:Moi j'ai bien aimé Rabbit Jacob par exemple mais à force de rediff ça commence à me taper sur les nerfs.
Aquariusnocamus a écrit:Arf, par contre pour le coup y en a marre des films de patrimoine. Par contre pour les films en VO, je suis à 100% OK.
Olivier94 a écrit:Je ne connais pas le budget associé sur D8, mais il faut déja exclure l'accès aux films récents, qui sont diffusés sur C+ et TPS ou des chaines thématiques payantes...
Olivier94 a écrit:Si c'est pour passer de vieux nanars déja multirediffusés ailleurs, ou est l'originalité face à la concurrence en clair ?
Un cycle Max Pecas ou Philippe Clair, non merci !
Il en reste un sur la 3. mais je suis d'accord, il y a plein de vieux films ou de jeunes auteurs qui ne passent plus (ou pas) du tout à 20h50 et qui méritent qu'on leur fassent prendre un peu l'air.Par contre, le "Ciné Club" tel qu'il a pu exister après "Apostrophes" sur Antenne 2 me manque... Le service public se demarque avec France 4 qui propose des films d'auteur en prime time le Dimanche soir.