Anonymous a écrit:Donc le récepteur le plus basique PO/GO/ voire FM a 10 € va disparaitre du marché au profit d'un appareil
RNT DMB et DAB+ probablement bien plus couteux.
Il n'y a pas grand chose à attendre d'un appareil à 10 €.
Un appareil bas de gamme sera probablement un peu plus cher mais ne sera pas hors de prix.
Un récepteur d'entrée de gamme restera dans une tranche de prix très accessible.
Nous verrons ce qu'il en est dans quelques mois. Au début c'est toujours plus cher et ensuite ça baisse
Anonymous a écrit:La bande L est elle obligatoire ?
Tant qu'il restera de la place sur la bande III, je ne vois pas pourquoi recevoir la bande L serait obligatoire.
Aucun opérateur technique ne cherchera à émettre sur la bande L tant qu'il aura la possibilité d'utiliser la bande III.
La bande L ne présente que des inconvénients. Sauf pénurie de fréquence, elle ne présente aucun intérêt pour une utilisation commerciale en réception hertzienne terrestre.
On n'en fera rien pour la RNT classique dans les 10 prochaines années, elle sera utilisée en complément de la diffusion satellite du projet Onde numérique.
Anonymous a écrit:Il va continuer de marcher 1 an avec 2 piles a 1 € ?
il va continuer puisqu'il n'est pas prévu d'arrêter l'analogique
Anonymous a écrit:Tout ça au profit d'une RNT dont il est pas sur du tout que la couverture depasse les 20%.
Sans meme qu'une date soit fixée pour l'arret de toutes les radios analogiques.
Le compromis actuel va permettre à ceux qui ne jurent que par le numérique de se lancer et à ceux qui sont contre, d'attendre pour pouvoir dire " on vous l'avait dit que ça ne marcherait pas ! ".
La RNT dépassera les 20%, par contre pour atteindre 50% ça va mettre du temps, beaucoup de temps...
L'évolution de la RNT dépendra du pouvoir politique, ce qui a toujours été le cas de la radio en France, si on prend l'exemple de la FM.
Il n'y a pas besoin de connaitre la date de fin de l'analogique pour lancer le numérique.
Il faut d'abord définir un plan de déploiement au niveau national avant d'évoquer une date de fin.
Le déploiement n'étant pas défini, il est impossible d'évoquer la fin de l'analogique.