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Et rien sur l'énorme gachi de laisser l’émetteur en service rien que pour des signaux horaires.
Et on refile la patate chaude a la DGAC pour noyer le poisson.
Modérateur: Mixture
julien74 a écrit:Un émetteur Grandes Ondes diffusant du silence (porteuse allumée mais pas de modulation) consomme beaucoup moins d'électricité qu'un émetteur Grandes Ondes diffusant du son
julien74 a écrit:Un émetteur Grandes Ondes diffusant du silence (porteuse allumée mais pas de modulation) consomme beaucoup moins d'électricité qu'un émetteur Grandes Ondes diffusant du son
julien74 a écrit:Pour la FM je ne sais pas si ça fait une différence de consommation électrique quand il y a un son diffusée ou si il y a un blanc à l'antenne.
Même si la puissance consommée est la même, la différence c'est que ce n'est plus Radio-France qui paie, ni l'entretien non plus. C'est tout ce qui compte dans une période où le gouvernement réduit le budget alloué à l'audiovisuel public.Marc2 a écrit:De toutes façons, on ne sait pas si l'argument du coût de l'électricité est vraiment valable. Il y a bien d'autres frais, comme l'entretien de deux pylônes de 400 m...
marceljack a écrit:Même si la puissance consommée est la même, la différence c'est que ce n'est plus Radio-France qui paie, ni l'entretien non plus.
Émetteur d'Allouis : le signal horaire maintenu
Publié le 01/02/2018 à 09h05
Émetteur d'Allouis : le signal horaire maintenu Depuis 1977, la fréquence 162 kHz transmet un signal horaire de référence élaboré à partir d’horloges atomiques.
La diffusion du signal horaire de référence en ondes longues par l’émetteur d’Allouis a été prolongée pour cinq ans, après un contrat de six mois renouvelable l’année dernière.
Après avoir pris la décision, au cours de l’été 2017, de prolonger la diffusion en ondes longues du signal horaire de référence élaboré à partir d’horloges atomiques, le gouvernement d’Édouard Philippe a retenu, en fin d’année dernière, et après une consultation internationale, le groupe TDF pour assurer l’exploitation de ce service.
Un intérêt hautement stratégique
Un contrat de cinq ans qui fait suite à un contrat de six mois renouvelable une fois (établi entre l’Agence nationale des fréquences et TDF) ayant permis de poursuivre pour l’année 2017, après l’arrêt de la diffusion de France Inter sur les grandes ondes le 31 décembre 2016, la diffusion de ce service de synchronisation horaire indispensable au fonctionnement de secteurs exigeant une fiabilité de synchronisation : contrôle du trafic aérien et routier, transport ferroviaire, centrales nucléaires, gestion de l’éclairage public d’un grand nombre de communes, synchronisation des horodateurs, ou encore mise à l’heure des horloges d’édifices publics et des gares. Notons que ce système permet de mettre à l’heure près de 200.000 horloges sur l’ensemble du territoire métropolitain.
TDF prévoit de maintenir, sur le site d’Allouis, une dizaine d’emplois (on en comptait une quinzaine en décembre 2016). « Dans notre réponse émise lors de la consultation, nous avons essayé d’apporter le meilleur compromis possible entre optimisation économique et sauvegarde de l’emploi », explique ainsi François Picand, directeur adjoint du pôle industrie et innovation au sein de TDF.
Valérie Mazerolle