dpatcat a écrit:Je ne sais pas comment tu sais que l'ANFR utilise des enregistreurs, bref, mais comment cela se fait il que le diffuseur ne le fasse pas, car après tout, n'est ce pas lui qui doit télé-surveiller son réseau de diffusion principale afin de corriger dans un délai très court un éventuel défaut de diffusion?
L'ANFR est le juge de paix car sans elle, on aurait une bataille entre diffuseur se renvoyant sans cesse la balle.
dpatcat a écrit:Si tel est le cas, alors, qui finance ce matos de surveillance? le contribuable j'imagine...
Je comprends un peu mieux maintenant que les problèmes soient longs à être résolus, si l'on fait le tour des topics de certaines zones de couverture, vu que le diffuseur ne surveille pas son réseau
Certains problèmes sont cours mais d'autres nécessites une analyse fine et réalisable par une poignée d'expert.
De plus sur les délais d'interventions, ils sont fonction du contrat commercial entre l'opérateur de diffusion et du multiplex.
Pour finir, tout système de surveillance n'est jamais parfait. Le monde du zéro défaut n'existe pas. Ainsi quelle est la quote part de défaillance nationale sur l'ensemble des points de service. Pour info, c'est 10000 points de services exploités par les diffuseurs. Rien que 1% quotidien donne 100 points de services à l'échelle nationale à cumuler avec les pilotés ou zone de brouillage induite.
Concernant la difficulté d'analyse tu as de multiples sources de défaillances : brouillages au pilotages, brouillages entre émetteur,etc, etc où généralement le problème peut provenir de 4 ou 5 émetteurs